Éditions
Le Lampadaire
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11.2023
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Tous les chiens sont bleus
Rodrigo de Souza LeãoN
Nouveautés
02.11.2023
13 €
C’est un texte.
Un texte irréductible.
Ça parle de l’asile psychiatrique, des internés, des médicaments, de cris, de puces électroniques implantées, de délire paranoïaque, d’hallucinations, de l’invention d’une langue, d’un nouveau culte. Ça parle de folie. Et d’un chien bleu.
Rodrigo de Souza Leão, est un poète musicien journaliste peintre brésilien. Il est aussi schizophrène. Né en 1965 à Rio de Janeiro, il meurt en 2009. Il commence à écrire Tous les chiens sont bleus en 2001, après son second séjour en clinique psychiatrique. Jusqu’en 2008, date de la première publication au Brésil, il en retravaille l’écriture en cherchant à rapprocher la prose de la schizophrénie, ce qui ne peut passer, à son avis, que par la poésie.
Un texte irréductible.
Ça parle de l’asile psychiatrique, des internés, des médicaments, de cris, de puces électroniques implantées, de délire paranoïaque, d’hallucinations, de l’invention d’une langue, d’un nouveau culte. Ça parle de folie. Et d’un chien bleu.
Rodrigo de Souza Leão, est un poète musicien journaliste peintre brésilien. Il est aussi schizophrène. Né en 1965 à Rio de Janeiro, il meurt en 2009. Il commence à écrire Tous les chiens sont bleus en 2001, après son second séjour en clinique psychiatrique. Jusqu’en 2008, date de la première publication au Brésil, il en retravaille l’écriture en cherchant à rapprocher la prose de la schizophrénie, ce qui ne peut passer, à son avis, que par la poésie.
Designer : bureau dcg
ISBN : 978-2-9559097-5-1
11 x 17,5 cm
96 pages
0
4
03.2022
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Lotus Seven
CJeanneyN
Nouveautés
01.03.2022
12 €
Qu’ont à voir le héros de la série The Prisoner, joué par l’énigmatique Patrick McGoohan et le père de
CJeanney avec qui, enfant, elle regardait la série ? Rien, sans doute. Pourtant, ce sont bien deux parallèles, deux vies, que l’enfant qui regarde la télévision et la romancière qui écrit Lotus seven, s’efforcent, de croiser, de rapprocher ou d’éloigner, pour comprendre le monde, les événements et les émotions qui l’agitent, les motifs qui le meuvent.
CJeanney dispose son texte en 7 chapitres/épisodes de 50 paragraphes de 60 mots, pour mieux se couler dans le temps de la série, calque temporel qui permet de faire jouer évocations du père, fragments du passé, et trajectoires de celui que l’on n’appelle plus que « numéro 6 ».
Romancière, poète et traductrice, C Jeanney a déjà publié une vingtaine d’ouvrages.
CJeanney avec qui, enfant, elle regardait la série ? Rien, sans doute. Pourtant, ce sont bien deux parallèles, deux vies, que l’enfant qui regarde la télévision et la romancière qui écrit Lotus seven, s’efforcent, de croiser, de rapprocher ou d’éloigner, pour comprendre le monde, les événements et les émotions qui l’agitent, les motifs qui le meuvent.
CJeanney dispose son texte en 7 chapitres/épisodes de 50 paragraphes de 60 mots, pour mieux se couler dans le temps de la série, calque temporel qui permet de faire jouer évocations du père, fragments du passé, et trajectoires de celui que l’on n’appelle plus que « numéro 6 ».
Romancière, poète et traductrice, C Jeanney a déjà publié une vingtaine d’ouvrages.
Designer : Bureau DGC
ISBN : 978-2-9559097-4-4
11x17,5cm
112 pages
0
3
02.2020
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Ce qui n’existe plus
Krishna MonteiroN
Nouveautés
01.02.2020
10 €
Un recueil de nouvelles dont les fils s’entrecroisent pour créer un réseau de souvenirs et faire resurgir des événements qui n’ont peut-être jamais eu lieu ailleurs que dans la tête des divers narrateurs qui écrivent – ou parlent – ou pensent.
Comment comprendre le monde lorsqu’on n’en perçoit que des bribes, qu’on ne se reconnaît plus dans un miroir, qu’on ne maîtrise plus sa voix, ses gestes, ses actions ? Krishna Monteiro nous entraîne dans des mondes fragmentaires à la recherche d’un sens qui paraît échapper mais qui se tisse petit à petit dans ces sept nouvelles que l’on aurait tort de croire dissociées.
Là où règne la métonymie s’obscurcit le sens.
Krishna Monteiro est brésilien, il a été finaliste du prix Jabuti 2016 pour O que não existe mais (Ce qui n’existe plus), son premier ouvrage.
Notre édition est finaliste du prix Jabuti 2021 dans la catégorie "Publications extérieures".
Comment comprendre le monde lorsqu’on n’en perçoit que des bribes, qu’on ne se reconnaît plus dans un miroir, qu’on ne maîtrise plus sa voix, ses gestes, ses actions ? Krishna Monteiro nous entraîne dans des mondes fragmentaires à la recherche d’un sens qui paraît échapper mais qui se tisse petit à petit dans ces sept nouvelles que l’on aurait tort de croire dissociées.
Là où règne la métonymie s’obscurcit le sens.
Krishna Monteiro est brésilien, il a été finaliste du prix Jabuti 2016 pour O que não existe mais (Ce qui n’existe plus), son premier ouvrage.
Notre édition est finaliste du prix Jabuti 2021 dans la catégorie "Publications extérieures".
Designer : Bureau DGC
ISBN : 978-2-9559097-3-7
11x17,5cm
104 pages
Animaux en combat
CollectifC
Curiosités
00.00.0000
0 €
Travail en cours
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06.2018
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Le Feuilleton d’Hubert Lambert
Hubert LambertN
Nouveautés
22.06.2018
11 €
Un feuilleton en 12 épisodes (mai 2013-octobre 2014) suivies de 6 lettres adressées à Hubert Lambert.
Quatrième de couverture
Hubert Lambert, lecteur officiel et légèrement paranoïaque des éditions Le Lampadaire, vit enfermé dans un cagibi. Essentiellement préoccupé de lui-même et de son nom trop courant, il choisit la forme du feuilleton pour ressasser ses obsessions. D’où vient-il ? Pourquoi ce goût du retrait ? Tous ces interdits qui pèsent sur lui comme une malédiction ?
La découverte d’une revue d’un autre siècle, une sortie à Bécon-les-Bruyères, des trajets en métro, les lettres qu’il reçoit et qui viennent interrompre le cours de ses réflexions sont, pour Hubert, de minuscules aventures dont il fait toute une histoire.
À la recherche de son personnage qui se cherche lui-même, l’auteur nous entraîne dans un monde vertigineux où se confondent fiction et réalité.
Quatrième de couverture
Hubert Lambert, lecteur officiel et légèrement paranoïaque des éditions Le Lampadaire, vit enfermé dans un cagibi. Essentiellement préoccupé de lui-même et de son nom trop courant, il choisit la forme du feuilleton pour ressasser ses obsessions. D’où vient-il ? Pourquoi ce goût du retrait ? Tous ces interdits qui pèsent sur lui comme une malédiction ?
La découverte d’une revue d’un autre siècle, une sortie à Bécon-les-Bruyères, des trajets en métro, les lettres qu’il reçoit et qui viennent interrompre le cours de ses réflexions sont, pour Hubert, de minuscules aventures dont il fait toute une histoire.
À la recherche de son personnage qui se cherche lui-même, l’auteur nous entraîne dans un monde vertigineux où se confondent fiction et réalité.
Designer : Bureau DGC
ISBN : 978-2-9559097-2-0
11x17,5cm
148 pages
Le cas Lambert
CollectifC
Curiosités
15.01.2025
48 €
(En pré-commande.À paraître au second trimestre 2022)
Le Cas Lambert est une réédition du "Louis Lambert" de Balzac augmenté d’un riche dossier traitant des relations entre la littérature et la médecine (La lecture médicale ; Contre la lecture médicale, l’idée et le cadre), l’art et la médecine (L’image médicale, signes et dispositifs ; L’image médicale en question, la souffrance du malade). On y trouve aussi quatre études sur le texte de Balzac (Mélancolie-et-science ; L’illusion documentaire ; Poétique électrique ; Louis Lambert est une pure idée).
Travail sur l’archive et le document, le corpus est constitué d’une matière textuelle et fictionnelle ("Louis Lambert", Balzac), d’une matière iconographique documentant le réel (dessins et photos puisés dans les traités médicaux du XIXe siècle), d’une matière scientifique (écrits des aliénistes justifiant leurs pratiques). Le fil conducteur est l’aliénation mentale dont un des traits majeurs est la confusion entre fiction et réalité. L’ouvrage reprend les démarches de l’art archiviste et du citationnisme en y intégrant les concepts de conjointure et d’interpolation.
Contributeurs: Julie Cheminaud, Hubert Lambert, Sophie Saulnier, Thierry Bodin.
Direction éditoriale: Sophie Saulnier
Le Cas Lambert est une réédition du "Louis Lambert" de Balzac augmenté d’un riche dossier traitant des relations entre la littérature et la médecine (La lecture médicale ; Contre la lecture médicale, l’idée et le cadre), l’art et la médecine (L’image médicale, signes et dispositifs ; L’image médicale en question, la souffrance du malade). On y trouve aussi quatre études sur le texte de Balzac (Mélancolie-et-science ; L’illusion documentaire ; Poétique électrique ; Louis Lambert est une pure idée).
Travail sur l’archive et le document, le corpus est constitué d’une matière textuelle et fictionnelle ("Louis Lambert", Balzac), d’une matière iconographique documentant le réel (dessins et photos puisés dans les traités médicaux du XIXe siècle), d’une matière scientifique (écrits des aliénistes justifiant leurs pratiques). Le fil conducteur est l’aliénation mentale dont un des traits majeurs est la confusion entre fiction et réalité. L’ouvrage reprend les démarches de l’art archiviste et du citationnisme en y intégrant les concepts de conjointure et d’interpolation.
Contributeurs: Julie Cheminaud, Hubert Lambert, Sophie Saulnier, Thierry Bodin.
Direction éditoriale: Sophie Saulnier
Designer : Bureau DGC
ISBN : 978-2-9559097-4-4
20,3 x 26,2
320 pages
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1
03.2017
BUY
Le Massicot
Sophie SaulnierN
Nouveautés
03.03.2017
15 €
Dans ce roman ludique et poétique, le narrateur, aidé du lion et du chien de saint Jérôme ainsi que d’un romancier américain, enquête pour comprendre pourquoi il a été inculpé et incarcéré. Quelques conseils de lectures sont donnés aux détenus qui l’accompagnent.
Quatrième de couverture :
« Minute, mortel ! Patience ! Ce n’est pas terminé », rugit le lion de saint Jérôme qui connaît toute la difficulté de son enquête. Il doit résoudre l’énigme de la mort d’un éditeur et prouver l’innocence d’un jeune écrivain que tout accuse.
Et quand on a un chat entre les pattes, un chien et un ours comme adjoints, que ledit éditeur se demande s’il est Ponce-Pilate ou Jésus-Christ, que saint Jérôme fait réciter des poèmes à ses animaux et s’entiche de théâtre, alors oui, le lion a raison de le dire « ce n’est pas terminé » et il faut s’attendre à ce que la résolution soir complexe et pleine de rebondissements.
À la fois loufoque et d’une logique rigoureuse, ce Massicot montre avec une ironie cruelle les méandres et les dangers de la création littéraire.
Quatrième de couverture :
« Minute, mortel ! Patience ! Ce n’est pas terminé », rugit le lion de saint Jérôme qui connaît toute la difficulté de son enquête. Il doit résoudre l’énigme de la mort d’un éditeur et prouver l’innocence d’un jeune écrivain que tout accuse.
Et quand on a un chat entre les pattes, un chien et un ours comme adjoints, que ledit éditeur se demande s’il est Ponce-Pilate ou Jésus-Christ, que saint Jérôme fait réciter des poèmes à ses animaux et s’entiche de théâtre, alors oui, le lion a raison de le dire « ce n’est pas terminé » et il faut s’attendre à ce que la résolution soir complexe et pleine de rebondissements.
À la fois loufoque et d’une logique rigoureuse, ce Massicot montre avec une ironie cruelle les méandres et les dangers de la création littéraire.
Designer : Bureau DGC
ISBN : 978-2-9559097-0-6
11x17,5cm
204 pages
Lectures de prison
CollectifC
Curiosités
01.09.2017
50 €
Du château de la Bastille aux prisons d’aujourd’hui : ensemble de documents-textes et de documents-images sur les bibliothèques de prison et sur l’accès (ou le non-accès) des personnes détenues à la lecture.
L’ouvrage organisé en cinq chapitres aborde les questions suivantes :
1. Pourquoi l’État veut-il que les détenus lisent ? 2. Comment sont organisés les fonds ? 3. Quel est le fonctionnement de la bibliothèque de prison ? 4. Comment savoir ce que lisent les détenus ? 5. Quel lieu pour la bibliothèque pénitentiaire ?
Contributeurs : Philippe Claudel pour la préface ; Philippe Artières, Guillaume de la Taille, Marianne Terrusse, Jean-Louis Fabiani, Claude Poissenot, pour les ouvertures de chacun des chapitres ; Jean-Lucien Sanchez pour la postface.
Direction éditoriale : Sophie Saulnier
L’ouvrage organisé en cinq chapitres aborde les questions suivantes :
1. Pourquoi l’État veut-il que les détenus lisent ? 2. Comment sont organisés les fonds ? 3. Quel est le fonctionnement de la bibliothèque de prison ? 4. Comment savoir ce que lisent les détenus ? 5. Quel lieu pour la bibliothèque pénitentiaire ?
Contributeurs : Philippe Claudel pour la préface ; Philippe Artières, Guillaume de la Taille, Marianne Terrusse, Jean-Louis Fabiani, Claude Poissenot, pour les ouvertures de chacun des chapitres ; Jean-Lucien Sanchez pour la postface.
Direction éditoriale : Sophie Saulnier
Designer : Bureau DGC, Philippine Chaumont
ISBN : 978-2-9559097-1-3
21 x 27 cm
464 pages
Éditions le Lampadaire
7 villa des Vosges
FR-92270 Bois-Colombes
06 50 60 28 29
e.lampadaire@yahoo.fr
7 villa des Vosges
FR-92270 Bois-Colombes
06 50 60 28 29
e.lampadaire@yahoo.fr
Fondées en 2017, les éditions Le Lampadaire proposent deux collections en parallèle. La collection des Nouveautés publie la littérature contemporaine. La collection des Curiosités publie en écho à chaque Nouveauté son ou ses sous-texte(s) : documents, images, raretés, textes oubliés… Le face-à-face entre les deux collections interroge le fait littéraire.
La collection Webpaper publie, sous forme de livrets cousus main, certains des textes courts parus sur le webzine du Lampadaire (le-lampadaire.fr). Il y en a une dizaine.
La collection Webpaper publie, sous forme de livrets cousus main, certains des textes courts parus sur le webzine du Lampadaire (le-lampadaire.fr). Il y en a une dizaine.
